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J’ai écrit et publié sur mon blog, un billet sur un risque d’affrontement à Solenzo en raison des velléités de mise en place d’une cellule locale de Koglweogo. Sans mon autorisation et sans me citer, une grosse entreprise de presse s’est permise de se l’approprier. Le billet a été publié dans la nuit du samedi 11 au dimanche 12 février 2017 vers 1 heure du matin. Au petit matin, je constate un succès franc. Le trafic sur mon blog est exceptionnel. Sur Facebook, le billet est partagé à de nombreuses reprises.  Ce succès a engendré des plagiats sur les réseaux sociaux. Ayant constaté que mon billet est collé dans un groupe Facebook , j’ai décidé d’interpeller l’administratrice de ce groupe. Je lui ai fait remarquer inbox que ce n’était pas une bonne façon de procéder. En retour, elle m’a laissé entendre que des médias classiques s’adonnaient à de telles pratiques. J’ai rejeté cette allégation, me disant qu’un média sérieux ne pouvait pas le faire.  Cependant, le lundi en fin

La ville de Solenzo est sous haute tension depuis la soirée de ce samedi 11 février 2017. Cela, en raison d’un projet de mise en place d’une cellule locale de Koglweogo . Ph illustration, installation de kogleweogo àSolenzo Des Koglweogo venus de plusieurs localités du Burkina (Manga, Boulsa,…) entendent procéder, ce dimanche 12 février 2017 à l’installation d’une cellule locale à Solenzo. Pour ce faire ils sont regroupés en un endroit non loin de de la ville où ils préparent la cérémonie d’installation. Cependant ce projet n’est pas du goût de tout le monde à Solenzo. Le chef de canton s’oppose catégoriquement à cette velléité d’installation d’une cellule Koglweogo. Pour ce faire il mobilise sa population pour faire barrage au projet. Aussi, les Dozo de la région qui ont été alertés ont sonné le rassemblement en vue de faire mouvement vers Solenzo pour empêcher ‘’par tous les moyens’’ l’installation d’une cellule Koglweogo. Pendant ce temps, les autorités administratives

En fin d’année passée, le Président du Faso a annoncé un remaniement ministériel. Mais 5 semaines après l’annonce, le gouvernement Kaba est toujours aux affaires.  Pourquoi cette attente ? La raison est simple : Salif Diallo, surpris par l’annonce, a gentiment demandé au Président du Faso de sursoir au projet. En tout cas, le patron du parlement ne souhaite pas un remaniement dans l’immédiat. Pour lui, il faut laisser passer le congrès du   MPP   prévu pour mars, avant de renouveler l’équipe gouvernementale . Le président semble avoir adhéré à cette idée. L’annonce ayant déjà été faite, le gouvernement tourne au ralenti. Malgré les nombreux problèmes qui assaillent le quotidien des Burkinabè, aucune mesure forte. C’est juste l’exécution des affaires courantes. Le conseil de ministres se résume depuis quelques semaines à sa simple expression, sans décision importante aucune. A l’évidence, même les nominations sont décommandées. Des exigences plus ou moins connues Si l’o